Fiche de Sarabeth Van Hook

Nom :

Van Hook {Nom de son père} et Thrillers {Nom de jeune fille de sa mère}.

Prénom :

Sarabeth {Prénom de sa grand-mère maternelle} et son deuxième prénom est Mary {Prénom de sa grand-mère paternelle}.

Année :

Sixième année.

Maison souhaitée :

Serpentard.

Origine :

Britannique.

Famille :

Née dans une famille composée entièrement de sorciers, du moins aussi loin qu’on puisse remonter dans l’arbre généalogique, il n’y a jamais eu de Moldus dans la famille, Sarabeth Mary a vécu dans la population magique en ignorant tous du Monde Moldu, excepté le fait que, comme ne cessaient de le répété sa famille, ces gens-là n’étaient pas fréquentables et qu’ils ne méritaient pas de vivre car ils étaient des sous-hommes. Il n’y a donc rien d’étonnant dans le fait que Sara' n’aime pas les Moldus, elle a tout simplement suivi sa famille mais, en vérité, elle n'a pas tellement de préjugés qu'elle le laisse croire ...

Caractère :

On accorde souvent à Sarabeth Mary Van Hook la réputation de « peste », ce qui n’est pas totalement faux. Elle adore dire du mal de chaque personne qui lui déplaisent, mais n’est pas hypocrite pour autant, vu que, les méchancetés, elle les raconte tout le temps en face de la personne, sans aucun remords vu qu’elle cherche généralement à blesser les autres. Moqueuse et narquoise, elle trouve toujours le point faible de son adversaire et le mot qui tue pour le vexer, ce qui fait qu’elle gagne pratiquement toujours les « batailles » de langage lorsqu’elle se dispute avec quelqu’un, et on pourrait même aller jusqu’à dire qu’elle est méchante et sadique. Parfois, elle blesse physiquement les personnes, mais c’est plutôt rare, elle préfère attaquer verbalement, ce qui peut faire autant mal, d’ailleurs, lorsqu’elle crache son venin. Elle a humilié plus d’une personne de différentes manières et n’est jamais à court d’idées lorsqu’il s’agit de plans machiavéliques pour faire du mal à quelqu’un qu’elle n’aime pas. Mais, si il faut se battre, Sarabeth n’hésitera pas, sans même penser qu’étant donné sa petite taille, cela risque d’être un peu gênant. On ne dirait pas, mais la jeune fille est assez forte physiquement, car elle fait de la musculation et elle n’aurait aucun remord à frapper quelqu’un …

C’est pourtant quelqu’un de très coquette, qui ne laisse rien au hasard dans son apparence physique (ni dans ce qu’elle dit, d’ailleurs) et pour qui les vêtements comptent beaucoup, il faut toujours qu’elle soit bien habillée et pomponnée ou, autrement dit, bien présentable. Ce comportement est finalement compréhensible, étant donné qu’elle a été élevée dans une famille de gens riches, Beth est une habituée du luxe et sa méchanceté est due au fait qu’elle a été trop gâtée et choyée par ces parents, ce qui ne l’a pas vraiment aidée pour être sympathique envers les autres que la jeune fille entreprenante décide de commander et diriger, avec un tempérament de leader naturel qui agace très souvent les autres.

Mais n’allez pas croire qu’elle ne possède aucune qualité. Tout d’abord, étant donné qu’elle dit toujours ce qu’elle pense, on pourrait dire qu’elle est franche, même beaucoup. Autrement, Sarabeth est également intelligente et réfléchie toujours avant de parler et d’agir, ce qui fait que ses plans sont encore plus mauvais et dangereux pour les autres, mais elle ne se sert pas de son intelligence seulement pour être méchante : parfois, cela lui sert pour manipuler les gens, mais on ne peut pas qualifié cela de « bien » ; et, en cours, elle a d’excellentes notes et fait toujours tout pour rapporter des points à sa maison, qu’elle veut toujours faire gagnée. Ça, c’est parce qu’elle sait toujours ce qu’elle veut et ne change jamais d’avis, elle est bien trop fière pour cela. Sa fierté, c’est d’ailleurs très important pour elle, et, si un jour elle serait par le plus grand des malheurs humiliée par quelqu’un, elle se vengerait terriblement et la personne qui l’aurait humiliée subirait des conséquences terribles, mais elle est trop sûre d’elle pour penser que cela va arriver un jour, et, de toute façon, le maître de la manipulation, de la méchanceté et des coups tordus, c’est elle, donc elle ne se laissera pas avoir facilement.

Physique :

À seize ans, Sarabeth Mary n’a visiblement pas eut sa poussée de croissance ou, en tous cas, pas entièrement, étant donné que son corps s’obstine à rester de petite taille. En fait, la demoiselle a bien compris qu’elle ne risquait pas de grandir, ou du moins pas beaucoup, condamnée à rester de petite taille, mesurant seulement un mètre soixante, ce qui est très peu pour son âge. Néanmoins, ce n’est pas son souci prioritaire. Sarabeth fait semblant de ne pas être affectée par sa taille, afin que personne n’utilise son défaut contre elle, mais c’est véritablement un handicap, quelque chose qui la gêne car, si il y a bien une chose qu’elle ne supporte pas, c’est qu’on la regarde de haut parce que l’on est plus grand qu’elle mais, si on lui fait la moindre remarque là-dessus, elle saura toujours prendre la situation à son avantage, par exemple en disant que sa petite taille pouvait être un atout pour se faire discrète en cas de nécessité et, donc, personne ne devine à quel point sa taille la met mal à l’aise, elle fait tout pour dissimuler cela …

Au niveau du poids, Sara’ est quelqu’un de très mince, et l’a toujours été. Certains pensent que c’est parce qu’elle fait beaucoup de sport, mais, même si c’est le cas, cela n’explique pas vraiment le fait qu’elle garde la ligne, alors qu’il faut bien admettre qu’elle mange beaucoup. Bien sûr, en public, elle mange normalement, mais il lui arrive de se faufiler dans les cuisines pour commander quelques trucs à manger aux Elfes, simplement par pure gourmandise. Mais, grâce au ciel, la jeune Van Hook ne grossit pas pour autant, ce qui émerveille certains de ses amis même s’ils croient tous que c’est grâce au sport, étant donné qu’elle en fait beaucoup, comme le Quidditch, la musculation et un sport beaucoup plus féminin, la danse.

Son visage est mince et bien sculpté, même s’il n’a rien d’extraordinaire. Son teint est plutôt bronzé, ce qui est dû aux nombreuses heures qu’elle passe au soleil lorsqu’elle va à la plage, à se baigner ou à bronzer, car elle veut à tout prix éviter d’être trop pâle, et, en plus, elle adore bronzer, ce n’est donc pas un problème de le faire. Bien sûr, cela ne signifie pas pour autant qu’elle à l’air métisse, c’est juste que l’on voie facilement qu’elle aime aller à la plage …

Sarabeth Mary possède une magnifique chevelure châtain qu’elle tient de sa mère. Étant plutôt coquette, elle en prend grand soin, d’autant plus que, comme beaucoup de gens le répètent, elle a une très belle chevelure. Jamais elle ne s’est fait des teintures, car elle aime la couleur de ces cheveux et trouve que les teintures les abîment. Mais par contre, elle a régulièrement changé de coupe. Lorsqu’elle était plus jeune, vers huit ans, et avant, elle portait les cheveux bien plus courts, bien qu’elle n’a jamais eut de franche, car elle ne supporte pas cela et ce depuis toujours. Vers dix ans, elle les portaient en bas du dos, mais a finalement préféré les coupés un an plus tard et ils sont maintenant mi-longs, un peu en dessous de ses épaules. Même si il lui arrive de les faire lisser, elle préfère les garder lisses, car ils sont bien plus faciles à coiffer ainsi !

La jeune fille a de jolis yeux, tout le monde le lui dit, même si elle ne le pense pas vraiment, car elle les trouve tous bonnement banals. Selon son avis, leur couleur marron est atroce et peu originale, elle préfèrerais les avoir d’une autre couleur mais n’a pas le choix et fait avec et, comme pour sa taille, elle évite de parler de cela, d’autant plus que ces yeux ne la complexent pas vraiment, car c’est dans ses yeux banalement marrons que l’on devine ses expressions, même si parfois, afin de manipuler les gens, elle se donne une fausse expression. Son regard est rarement pétillant, sauf lorsqu’elle plaisante avec quelqu’un qu’elle apprécie mais, en général, elle observe avec une intense froideur les gens qu’elle n’apprécie pas et, si on cherche à l’énerver, ces yeux lancent des éclairs, ce qui est plutôt impressionnant malgré sa petite taille, lorsqu’on sait de quoi elle est capable. Parfois aussi, son regard se fait moqueur, d’une façon particulièrement agaçante pour la personne visée. Mais le plus énervant pour les autres est sans doute cette lueur hautaine, comme si elle était meilleure que les autres, qui ne la quitte jamais et qui doit donner l’impression aux gens d’être des minables …

Son nez, quant à lui, est tout à fait normal. Court et « mignon », il est placé bien au milieu de son visage, comme tous les nez normaux. Fort heureusement, jamais il n’a souffert d’un quelconque coup de point ou autre, et il est resté tout à fait normal, content de ne pas devoir supporter de lunettes. Mais même si le nez est ce qui se trouve au milieu du visage, ce n’est pas forcément cela qui fait que Gabrielle est une magnifique jeune fille …

Ses lèvres sont bien dessinées et rosées, elle n’a pas besoin de mettre de gloss pour les rendre belles. Et, lorsqu’elle s’accorde à sourire, ce qui est plutôt rarissime, car, lorsqu’elle sourit, c’est surtout de façon sadique ou moqueuse, on peut apercevoir des dents blanches et fort bien alignées.

Pour finir, ses formes sont bien dessinées ou, en tous cas, tout à fait normalement pour une jeune fille de son âgé. Ni trop, ni pas assez, et cela lui convient parfaitement. En revanche, la demoiselle déteste qu’on lui accorde des regards simplement pour ça et qu’on louche sur ses seins car, comme elle dit lorsqu’elle voit un garçon qui fait cela, « si mes décolletés te gênent, relève les yeux, je ne me changerais pas ! » mais il est clair que Sarabeth déteste ce genre de comportement ce qui est, somme toute, compréhensible.

Histoire :

Gémeaux, ascendant poisson, Sarabeth Mary Van Hook est née un 11 juin 1978 dans une population entièrement magique. Pour son premier nom, Sarabeth, c’est le nom de sa grand-mère maternelle et Mary, son deuxième nom, est celui de sa grand-mère paternelle, mais elle ne voit plus aucunes des deux qui sont mortes il y a quelques années, ainsi que son grand-père maternel. Sa famille est composée entièrement de Sangs-Purs, aussi loin qu’on peut remonter dans son arbre généalogique, et les Van Hook sont fiers de leur pureté de sang qui était pourtant de plus en plus rare dans les familles au fil des années, mais pas dans la noble famille Van Hook qui met un point d’honneur a ne pas épouser de Moldu, Cracmol, Né-Moldu ou Sang-Mêlé, mais les traîtres à leur sang leurs sont tout aussi méprisables, et c’est les raisons pour lesquelles les Van Hook ont le sang pur. Pour eux, être issu d’une famille de Moldus est une honte, et Sarabeth a été habituée à les mépriser, mais, étonnamment, la jeune fille adresse de temps à autre la parole à des gens comme ça, même si elle préfère ne pas le dire à sa famille, préférant faire croire qu’elle approuve totalement leurs idées. C’est vrai, elle n’est pas totalement contre, mais, pour elle, ne pas aimer les gens comme les Nés-Moldus est une forme de racisme, ce sont des préjugés, tout simplement. Bien sûr, elle n’ira jamais tenir de tels propos devant ses parents, surtout qu’elle n’est qu’à moitié contre leur opinion.

Sa mère se nomme Melissa Elizabeth Van Hook (née Thrillers) et cette sorcière au Sang-Pur est une femme jugée respectable aux yeux des autres, elle travaille comme Guérisseuse à l’hôpital de sorciers, St Mangouste. Il y a maintenant des années de cela, Melissa Elizabeth Van Hook, qui se nommait à cette époque encore Thrillers, a fait ses études à l’académie de magie Beauxbâtons, car elle est d’origine française. Mais, peu après sa sortie de Beauxbâtons, elle a emménagé en Angleterre (afin de pouvoir travailler à St Mangouste) et à rencontrer un homme nommé Jonathan Van Hook, un homme au Sang-Pur et à la famille très riche, qui avait fait ses études à Poudlard (dans la maison Serpentard, comme la plupart des membres de sa famille) et qui travaillait à présent au Ministère de la Magie. Tous deux on fait connaissance et ont finit par se marier. Deux ans plus tard, ils eurent un premier enfant, un petit garçon qu’ils décidèrent de nommer William Charles, prenant les prénoms du grand-père paternel et maternel. Un an après la naissance du jeune garçon, ce fût un autre enfant qui vint au monde, une petite fille, cette fois que Melissa et Jonathan décidèrent de nommer Sarabeth Mary. Sarabeth Mary Van Hook.

Les années passèrent, et les enfants Van Hook grandirent. Ce fût William Charles qui dévoila ses pouvoirs magiques en premier, alors qu’il avait sept ans, il fit disparaître leur chat. Deux ans plus tard, alors que Sarabeth était âgée de huit ans et William de neuf, tous deux jouaient à cache-cache dans le jardin, accompagnés de quelques uns de leurs amis. Alors que la jeune Sarabeth cherchait à tout prix une cachette, elle se retrouva dans un buisson touffu, qui se trouvait pourtant à une dizaine de mètres d’elle. À partir de ce jour, la fillette ne tint plus en place, essayant toujours quelques trucs avec ces pouvoirs qu’elle était à présent certaine d’avoir, mais cela ne marchait que rarement. Néanmoins, elle parvint à réussir à plusieurs occasions quelques tours, mais préférait aller à l’école de magie, afin d’apprendre à les contrôler et les utiliser quand elle le désirerait. Lorsque William reçu sa lettre d’admission à Poudlard, sa jeune sœur fût extrêmement jalouse et lui fit la tête pendant une semaine, ne lui parlant pratiquement plus jusqu’à ce qu’il parte à l’école, le 1er septembre.

Mais, un an plus tard, ce fût à son tour de recevoir la lettre qu’elle attendait avec tant d’impatience : la lettre qui disait qu’elle pouvait venir à Poudlard, l’école de sorcellerie. Le 1er septembre de cette même année, Sara’ allait donc entrer en première année, tandis que Will, qui y avait été l’année dernière et s’était fait envoyé à Serpentard, entrait en deuxième année. Jamais Beth n’avait été aussi impatiente que le jour du 1er septembre, c’était pire que lorsque, quelques années plus tôt, elle et son frère sautillaient de partout le soir du 24 décembre, attendant leurs cadeaux. Mais malgré tout cela, quelque chose inquiétait Sarabeth Mary, qui craignait de ne pas se retrouver dans la même maison que son frère, Serpentard, là où toute la famille Van Hook avait fait ses études. La famille du côté de sa mère, en revanche, avait tous étudié à Beauxbâtons.

Maintenant, la jeune Van Hook a bien grandit, et son frère William Charles également. Ce dernier passe en septième année, et Sarabeth en sixième année, elle est donc bien habituée à l’école, connaît chaque coin et recoin (ou, du moins, c’est ce qu’elle croit) du château, et est bien moins pressée de rentrer qu’au moment de sa première année, même si, pour elle, retourner à Poudlard est toujours un plaisir, malgré les devoirs et les cours qui ne sont pas forcément aussi biens qu’elle le pensait au départ …

ok...